La fondation

Notre équipe est constituée de bénévoles aux métiers et savoirs divers constituant un ensemble pluridisciplinaire en mesure de mener à bien le pilotage d’un nécessaire changement de paradigme qu’imposent les dérives d’une socio-économie mettant en danger l’avenir de l’Être Humain sur la planète. Cette évolution passe par la mise en œuvre d’un nouvel écosystème sociétal, économique et financier que M.Fondation s’est donnée pour mission d’engager au moyen de solutions de substitution concrètes, disruptives, que vous découvrirez dans ce site et progressivement, dont en coopérant avec elle. Avec M.Fondation vous entrez dans l’ère de la « rationalisation ».

Notre ADN

M.Fondation s’est érigée en « Pan-Fondation» afin de parvenir à la concrétisation d’une valeur essentielle: l’équité.
Une Pan-Fondation a une double vocation :

  • donner naissance à du tissu socio-économique s’inscrivant dans le développement durable et l’économie circulaire,
  • faire évoluer le juridique auquel est soumis parfois injustement l’Être Humain.
    L’inéquité est la résultante d’une longue évolution sociétale en voie de remise en cause. Cette remise à plat s’accélère sous l’effet du pouvoir donné aux individus par le digital sans frontières conjugué à la diffusion universelle de la culture. Les structures de type O.N.G., associations,… constituent le fer de lance de ce projet de mue louable.
    À la lecture du contenu de ce site vous découvrirez pourquoi et comment l’équipe de M.Fondation agit, ce qui implique de connaître l’univers dans lequel l’Être Humain évolue et les causes de cette évolution.
    Nous vous suggérons de prendre le temps d’effectuer ce voyage. Si vous êtes très pressé(e) vous pouvez visiter directement nos grands univers d’action.

Contexte

Le cycle de la vie de l’Homme sur la planète

Après une première phase d’itinérance de l’homme sur la planète qui a duré des milliers d’années, l’outil au bout de sa main s’est suffisamment développé pour enclencher un second cycle, celui de la sédentarisation. Il a commencé à construire son habitat en dur, à se constituer un territoire, à fixer des règles qui se sont spécialisées progressivement formant le droit. Cet outil au bout de la main devenu d’une extraordinaire puissance, générateur d’une consommation débridée, épuisant les ressources limitées de la planète tout en la polluant, a un effet pervers sur l’évolution du climat.

Le « Bug » lié au cumul de l’outil au bout de la main et de l’esprit

L’association de « l’outil au bout de l’esprit », le numérique, malgré sa naissance récente, est devenu dominant au quotidien, voire indispensable. Démultipliant la puissance au bout de la main, il engendre une dérégulation par la surconsommation des ressources de la planète : on peut déforester l’Amazonie en écoutant du Mozart dans sa cabine de matériel automatisé d’abattage d’arbre. Face au risque de voir disparaître son espèce, l’homme conscientisé à enclenché un processus de régularisation datant l’enclenchement du troisième cycle, celui de la rationalisation, non sans résistance de la part des bénéficiaires des profits procurés par une socio-économie inadaptée.

M.Fondation est un outil de migration original ayant pour vocation d’accélérer ce nécessaire changement d’écosystème et d’initier, stimuler la naissance d’un nouveau paradigme. Les structures de régularisation mondiale, telle l’ONU soumise à la mainmise des États leaders, tout en reconnaissant que son article premier de la Charte fut un grand progrès sociétal après la grande boucherie de la deuxième guerre mondiale, disposent de peu d’espace de liberté.

La révolution numérique et couple Etat/citoyen

Ce processus de dégradation planétaire est amplifié par la naissance de l’outil au bout de l’esprit (illustré par « la petite poucette » du philosophe Michel Serres) dont un usage déviant vise à prendre le contrôle sur ledit esprit de l’individu et à le tracer. Cet outil est parfois utilisé hors du champ de l’éthique soit par des grands comptes tels les GAFAs, BATX, … leur modèle économique étant construit sur la capture des données personnelles, ou par les Etats afin de maintenir sous contrôle étroit leur population ou pour nuire à d’autres. Il y a donc une nécessité de qualifier l’usage du numérique, aujourd’hui utilisé parfois de manière perverse entre les personnes physiques elles-mêmes.

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Raison d’être

Alternatives au « y-a qu’à » et « au faut qu’on »

La toile numérique est constellée de sites internet exprimant la peur, des orientations, des injonctions, … face à la dégradation rapide de « l’Etat de santé de la planète ». Malheureusement, en dehors d’une sensibilisation positive, le pouvoir échappe aux citoyens, souvent même aux Etats, la finance étant la maîtresse du jeu. Aussi, M.Fondation s’est-elle érigée en Pan-Fondation afin de sortir du « y-a-qu’à » « faut qu’on » pour la mise en œuvre de solutions alternatives.

Moyen d’y parvenir

M.Fondation est un outil de migration original ayant pour vocation d’accélérer ce nécessaire changement de paradigme et d’initier, stimuler la naissance d’un nouvel écosystème dont l’un des outils est « l’économie Chrysalide ». Cet outil du futur proche à vocation à substituer aux industries recourant à la calcination et celles qui produisent des déchets polluants, une production à émission bas carbone, des alternatives écologiques d’obtention de résultats tel pour le dessalement de l’eau.


Afin d’encadrer la nouvelle socio-économie résultant de cette rationalisation, M.Fondation s’est donnée pour objectif de faire évoluer la charte des Droits de l’Homme de l’ONU en Charte de l’Humanité Augmentée (la C.H.A.).

De la Fondation Augmentée

Une Pan.Fondation se doit d’être une Fondation Augmentée. Ainsi, respectueuse des règles de la sanctuarisation du corps et de l’esprit de l’Être Humain imposée par la C.H.A., elle traduit dans la mise en œuvre de ses projets leurs objectifs par des règles de gestion telle celle des « 3 P », Profits, Personne, Planète. Ce principe vise à briser les dominations qui nuisent aux individus. M.Fondation soutient les entreprises qui appliquent ces règles, au demeurant bénéfiques pour chacun en passant de l’obligation au statut du consensuel sur la base de la notion de « droits et devoirs ». Dans la société de la sédentarisation, chacun se réfugie, dans la plupart des situations, derrière son droit, face au droit de l’autre, permettant la prolifération des professions de la filière juridique. Dans l’univers du cycle de la rationalisation, le droit anticipe les sources de conflits en s’appuyant sur la capacité de responsabilisation de chaque individu ce qui passe par une éducation et une formation positives, la valorisation du faire bien et l’expression du désintérêt pour le « bad boy ».

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Et vous ?

Vous ne faites pas partis de ceux qui se contentent des « y-a-qu’à, faut-qu’on » mais qui agissent ; vous avez envie d’avancer avec nous, de nous enrichir de vos avis, suggestions, … de nous donner un peu de votre temps, alors nous vous donnons rendez-vous sur Partage.

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