L’association de « l’outil au bout de la main » et de « l’outil au bout de l’esprit » nous donne l’opportunité de pouvoir constituer les bases d’une civilisation des lumières telle que l’évoque la philosophe Corine PELLUCHON dans son livre « Les Lumières à l’âge du vivant ». M.Fondation propose, pour tendre vers cet objectif, un ensemble d’outils contextualisés à découvrir ci-dessous.
Faire naître la C.H.A
Historique (Charte de l’ONU)
L’Homme est constamment à la recherche de nouvelles conquêtes ; le numérique est son terrain de chasse actuellement privilégié. Après avoir connecté les individus de la planète entière les uns avec les autres grâces à l’outil Internet, ne voilà-t-il pas que certains laboratoires de recherche et développement, dont ceux des GAFAs, BATX, … tentent de mettre au point des dispositifs permettant de se connecter directement sur le cerveau de l’Être Humain afin d’y télécharger directement des informations, soit d’en récupérer. À quand le premier cobaye doté d’une puce de connexion implantée dans son cuir chevelu ?
Objectif
La charte des Droits de l’Homme de l’ONU, ne prévoit pas la protection de « l’esprit ». Il convient donc de l’actualiser tout en prenant en compte aussi la problématique du bouleversement climatique en la faisant évoluer vers la Charte de l’Humanité Augmentée (C. H.A.).
De l’économie Chrysalide
Contenu : développement durable Augmenté et économie circulaire Augmentée
Le développement fantastique de l’économie mondiale en ce dernier siècle, au regard de l’historique de la planète, s’est effectué sur la base de la carbonisation dont la source d’énergie est le charbon, le pétrole,… L’inconvénient majeur de cette technologie et l’émission de chaleur et de gaz carbonique qui en résulte dont pour alimenter le réseau électrique à la consommation croissante. Il convient donc d’opérer une transition vers le recours à des énergies douces tel le vent, le solaire,… et par ailleurs d’orienter l’industrie vers une chimie décarbonée, de dépolluer les liquides qui résultent de l’activité humaine et de production. M.Fondation identifie et accompagne le développement de solutions alternatives entrant dans le champ du développement durable et de l’économie circulaire dans le cadre d’un programme appelé l’économie Chrysalide visant à faire émerger les innovations disruptives.
Capitalisme Augmenté (Vert équitable)
Le capital est le support de l’économie quelle que soit la doctrine politique une Nation. Il est constitué de ressources humaines (capital humain), de ressources animales, végétales et minérales, de monnaie. Aujourd’hui, c’est la monnaie qui conditionne l’activité économique et domine outrageusement les autres ressources sans lesquelles elle n’est rien. Ceux qui la détiennent de manière massive aujourd’hui gèrent le monde. Malheureusement la manière de gérer cette monnaie est devenue déviante au point de donner naissance au cupitalisme qui consiste à en faire croître le volume de monnaie selon des techniques permettant de faire de l’argent avec de l’argent sans produire de valeur ajoutée. Il en résulte que les riches, c’est-à-dire ceux qui détiennent l’essentiel de la monnaie, deviennent, mécaniquement, de plus en plus riches. M.Fondation agit pour enclencher une régulation de cette dérive par la naissance d’une nouvelle socio-économie (À découvrir dans le livre de « Lucy à Lucy Augmentée »).
Les outils : la V.A.A. , la règle des 3P
La Valeur Ajoutée (V.A.) est une notion purement comptable sur laquelle s’appuie l’État pour prélever l’impôt appelé TVA (Taxe à la Valeur Ajoutée). Cette Valeur Ajoutée qui résulte de la richesse produite par la conjugaison Homme/Machine lors, par exemple, d’une production d’appareils électriques ne prend pas en compte la qualité de celle-ci. Certaines actions de production, telle celle du ciment, de l’acier, engendrent une forte pollution que l’État tente de réparer en utilisant les ressources issues de la TVA et d’autres impôts. M.Fondation préconise de faire varier ce taux de TVA dont la base est une évaluation de la richesse produite par la Valeur Ajoutée Augmentée (V.A.A.). Ainsi, la base de calcul de la TVA devient qualitative prenante en compte la sous rémunération des travailleurs, la consommation trop importante d’énergie, la pollution produite… ; l’évaluation de la V.A.A. se mesure au moyen de la règle des 3P (Profits, Personnes, Planète).
Initialiser la V.A.A.
L’empowerment étendu au client
L’empowerment consiste à introduire l’ensemble des ressources humaines de l’entreprise dans le champ des décisions qui gèrent ses activités. Le collaborateur d’une entreprise, dans ce contexte, passe donc du statut de simple exécutant à celui de co-acteur. Dans le cas présent, il s’agit de faire évoluer le statut du client de l’entreprise d’une position d’acheteur vers celle de co-concepteur. Ainsi le produit devient la résultante du contexte d’usage du produit, de l’attente de son utilisateur en particulier en termes d’écologie, de développement durable, de recyclabilité, de qualité d’information …
De la R.S.E. vers la R.A., (La Responsabilité Augmentée)
La Responsabilité Sociétale des Entreprises constitue un début de reconnaissance de l’obligation des entreprises vis-à-vis de ses collaborateurs et de l’environnement ; jusqu’il y a peu, dans le droit français, l’entreprise n’avait qu’un objet, celui de profiter à l’actionnaire. La loi P.A.C.T.E. a élargi le champ de la vocation de l’entreprise en la responsabilisant vis-à-vis de ses salariés et de la société des hommes. Si cette évolution constitue un réel progrès, pour autant il est insuffisant. M.Fondation milite pour qu’un équilibre se mette en place par l’application obligatoire de la règle des 3P dont la pertinence de mise en œuvre au sein de l’entreprise se fera, en particulier, par la mesure de la V.A.A. et sa conformité de gestion par rapport aux règles édictées dans la C.H.A. Dans ce contexte l’entreprise sera sous le régime de la Responsabilité Augmentée (R.A.).
Gisements alternatifs
Le liquide, dont l’eau
En l’état de nos connaissances il semble qu’il n’y ait pas de vie sans eau. En tout cas, sur notre planète Terre, elle est un élément essentiel pour notre existence dont au plan de la composition chimique de notre corps. Ce liquide est donc précieux ; malheureusement, à l’heure du numérique et des avions, une partie de la population du globe n’en a pas suffisamment pendant qu’une autre la gâche. Par ailleurs, sous forme de pluie finissant son parcours dans les océans, elle est souvent porteuse d’une pollution débridée mettant en grave danger l’équilibre de notre écosystème flore/faune. Mais, d’autres liquides issus des activités de production contribuent à accentuer cette pollution. Aussi M.Fondation agit-elle pour responsabiliser l’ensemble des usagers de ces fluides et dans le même temps promeut des solutions disruptives pour réparer les déséquilibres sociétaux, dépolluer ces dits fluides.
La matière
L’Être Humain a commencé à se sédentariser quand il est parvenu à maîtriser la matière lui permettant de se constituer un lieu de vie physique et/ou spirituel. La construction moderne s’appuie sur l’usage des aciers et des bétons afin de satisfaire rapidement et durablement les besoins en habitat de populations à la démographie galopante. Malheureusement ces techniques sont particulièrement polluantes. Aussi M.Fondation agit telle pour faire émerger des solutions de rechange s’inscrivant dans la dimension écologique, développement durable et l’économie circulaire. Concrètement elle a pour ambition de donner naissance à un premier projet d’envergure, au pôle d’excellence situé dans les Hauts de France, « la Minealithe Vallée ».
Le stockage d’énergie
Les moyens de production d’énergie sont multiples et dans l’ensemble pertinents au plan technique ; par contre, ils souffrent tous d’un même problème, c’est celui du stockage de l’énergie. La solution la plus répandue est l’utilisation de batteries mais dont la composition chimique est particulièrement polluante. L’effort doit donc porter sur des solutions répondant aux contraintes de développement durable, d’écologie et de recyclabilité. M.Fondation accompagne une solution qui semble pouvoir répondre à ces trois contraintes.
Le numérique
Le numérique s’insert, en ce début du XXIe siècle, dans la quasi totalité des activités humaines. Sans rébellion des Êtres Humains, ceux-ci pourraient aisément être réduits au stade d’esclaves numérotés. Certains Etats n’hésitent pas à utiliser cet outil pour maîtriser la vie, voire la supprimer au moyen de drones, de leur population. L’enjeu sociétal qui en résulte est donc fondamental et ne peut se réguler que dans le cadre d’obligations s’imposant à chacun et aux dits États afin de préserver la liberté individuelle. La pertinence démocratique que permet d’atteindre ce numérique se heurte à de nombreux intérêts privés ou publics. La mise en place de la C.H.A. ne pourra se concrétiser que dans le cadre d’un combat que M.Fondation engage pour y parvenir.